oN|oFF

oN|oFF

création 2007 pour 3 danseur·ses

oN|oFF est une aventure pour trois danseur·ses.
Maîtres de la lumière et du son, les interprètes jouent avec des rouleaux de scotch blanc.
Ils fabriquent une aire de jeu dans laquelle le rapport à l'espace et la relation à l'autre composent des pistes d'investigation.
À l'intérieur de ce « labyrinthe », les danseur·ses sont confronté·es aux espaces restreints, aux voies prédéfinies et à leurs propres limites.
En contrepoint, apparaît un espace « off » dans lequel, tour à tour, iels peuvent être spectateur·rices ou acteur·rices du spectacle...

DISTRIBUTION

Chorégraphie: Philippe Ménard
Interprétation: Stefania Brannetti, Stéphane Couturas, Philippe Ménard
Dispositif: Pierre Lenczner
Musique: COH, Nachtplank, Noto, Pixel, Amon Tobin, Marilyn Manson
Photos: Christian Rausch
Production-Diffusion: Anaïs Héroguel

Durée: 50 min

PRODUCTION

Production: Cie pm.
Coproduction: Danse à Lille - CDC Roubaix, Les Anciennes Cuisines - Compagnie Vertical Détour.
Avec le soutien à la diffusion d’ARCADI (Action Régionale pour la Création Artistique et la Diffusion en Île-de-France), de l’ADAMI, du Conseil Général de Seine St Denis (93) et de la Ville de Paris.

CREATION
  Les 3 et 4 mai 2007
  Danse à Lille - CDC Roubaix (59)
PRESSE

« Cet essai dansé est aussi sincère dans le propos qu’illusoire dans l’impression donnée que ce soir, on improvise. Subtil ménage à trois entre amour, liberté et contrainte. oN|oFF est aussi raffiné que porteur d’un élan originel. »
Danser (Juillet-Août 2007) Thomas Hahn

«...une vision décalée du rituel de la représentation. Jouant à la fois sur l’espace de la danse, que les trois interprètes déstructurent et reconstruisent à l’envi, et sur le lieu et le temps de la représentation en dévoilant ce qui se passe en « off », le chorégraphe livre un spectacle aussi fort qu’intelligent»
La Terrasse (Octobre 2008) N.Yokel

«...le procédé utilisé est intéressant: la mise en abîme des dispositifs sonores et lumineux (habituellement dissimulé en régie) annule effectivement la frontière avec le spectateur et plonge ce dernier dans l’intimité des rapports de force entre nos trois personnages...» «...un scotch blanc appliqué au sol de manière anarchique, ou l’extinction d’un spot lumineux, peut soudain enferrer les protagonistes dans leurs propres insuffisances, ou au contraire leur créer la marge de manoeuvre nécessaire à l’expression de leur potentialités. La marge de liberté, fonction de l’espace d’émancipation: le propos de cette pièce est résolument actuel...»
Voix du nord (Mai 2007) L.D. (CLP)